Kyary Pamuy Pamuy

Kyary Pamyu Pamyu (きゃりーぱみゅぱみ ), de son vrai nom Kiriko Takemura (竹村 桐子), est née le 29 janvier 1993 (verseau) à Nishitokyo (Tokyo). C'est est une blogueuse, chanteuse et mannequin japonaise dans le style kawaii et au quartier Harajuku de Tokyo. Les médias parlent d'elle comme la J-Pop Princess ou même la Harajuku Pop Princess. Elle est une des rares artistes asiatiques à avoir reçu une attention considérable en occident. Elle chante des musiques de style J-pop, électronique et dance. Kyary adore les germes de Soja(Moyashi) et le chocolat et ses couleurs favorites sont le jaune, le vert, le rose et l'argent.

Kyary a commencé comme blogueuse de mode. Le nom Kyary est un surnom venant de ses camarades de classe au lycée.

«Quand j'étais au lycée, je portais une perruque blonde, juste pour la mode et l'une de mes amies a commencé à m'appeler Kyary, juste pour le plaisir, en disant que j'étais comme une fille étrangère. Quand j'ai commencé mon blog, je sentais que Kyary était un nom un peu trop court, il manquait quelque chose, alors j'ai ajouté "Pamyu Pamyu" parce que ça donnait un ton un peu mignon (kawaii), c'est pourquoi mon nom est "Kyary Pamyu Pamyu"»

La répétion de «Pamyu» dans son nom de scène provient tout simplement du fait que Kyary se répète tout le temps ! En outre, on retrouve cette particularité dans le nom de ses chansons (PONPONPON, Unite Unite, Invader Invader, Candy Candy, etc..).

Kyary commence sa carrière en tant que modèle pour des magazines de mode de Harajuku comme Kera! et Zipper. Par la suite elle lance une ligne de cosmétique, des faux-cils appelés «Harajuku Doll Eyelashes by Eyemazing x Kyary» , et participe à des défilés de mode. Kyary Pamyu Pamyu devint rapidement une des meilleures modèles de son style.

Certains l'appellent la "Lady Gaga Japonaise". A cause de sa façon extravagante de s'habiller.

Elle commence sa carrière musicale en 2010 en publiant deux singles au format numérique (vendus seulement sur le net),  Miracle Orange et Loveberry.

En juillet-août 2011 elle publie deux autres singles : Pon Pon Pon et Jelly, toujous en format numérique. Le clip Pon Pon Pon, au style kawaii, est diffusé sur Youtube. Il attire l'attention du public les trois années suivantes (plus de 80 millions de vues). Le single est produit par Yasutaka Nakata, et fait partie du mini album Moshi Moshi Harajuku, sorti le 21 août 2011. Pon Pon Pon est diffusé commercialement pour la première fois le 20 juillet 2011 et se place rapidement dans les premières places des charts iTunes de Finlande et Belgique. Le 31 juillet 2011, la chanson fait son entrée dans le Billboard Japan's Hot 100s chart à la 72^e place!

En mars 2013, Kyary grimpe pour la première fois à la première place du Japan Hot 100 avec son single Ninja Ri Ban Ban qui deviens la chanson la plus téléchargé sur iTunes au Japon durant l’année 2013. En juin de la même année, Kyary remporte deux récompenses (Meilleure chanson POP et meilleure chanson karaoke) aux MTV Video Music Awards Japan pour son clip Fashion Monster.

«C’est une sorte de mission pour moi de promouvoir et faire connaître Harajuku dans le monde entier.»

Totalement indéscriptible, l’univers sucré de Kyary est à la fois riche et coloré. Son gout pour le Creepy Kawaii est très prononcé et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle ses clips oscillent entre le mignon et effrayant. En 2012, elle devient l’ambassadrice de la mode «Harajuku Kawaii». Le style Harajuku est le haut-lieu de la mode "déjanté" à Tokyo.

Malgré le fait qu’elle soit populaire, Kyary reste assez proche de son public. Il n’est d’ailleurs pas rare de la voir discuter avec ses fans ou avec ses amis sur son compte Twitter

En lisant son autobiographie intitulé «Oh My God Harajuku Girl! », on remarque qu’il s’agit d’une fille fort timide et anxieuse. Mais les concerts sont les moments préférés de Kyary même si c'est un moment de stresse pour elle. Gourmande et têtue mais aussi perfectionniste et courageuse, Kyary a une personnalité riche en couleurs. Elle adore les animaux et particulièrement les requins pour lesquels elle voue un culte.

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 Source: Wikipédia; Naujilton; Kyary.fr